Le métro de Montréal est à un « point de rupture » face à « la hausse de la violence qui y règne et au sentiment d’insécurité grandissant pour les usagers », a affirmé le chef du Parti québécois (PQ), Paul St-Pierre Plamondon. Il a demandé que Québec prenne en main le problème de l’itinérance et mette fin à « l’inaction » dont le gouvernement fait preuve selon lui. Le chef péquiste, Paul St-Pierre Plamondon, dénonce «l’inaction» du gouvernement face à la situation dans le métro | Le Devoir