La pire des choses, en matière de transport collectif, est de ne rien faire, car pendant ce temps, le territoire s’organise en fonction d’une desserte insuffisante, les entreprises et les familles font des choix structurants, et on s’enlise dans un modèle urbanistique énergivore, coûteux sur le plan environnemental et qui freine le développement économique et social, disent les auteurs Est de Montréal | Pour un réseau de transport en commun vraiment structurant | La Presse