La Société de transport de Montréal (STM) a serré la vis aux itinérants récemment en interdisant le flânage dans le métro et en octroyant à ses constables spéciaux des pouvoirs d’intervention. Elle fermera aussi certains accès et réduira les espaces jugés à risque avec des grillages ou des cloisons. Il n’en fallait pas plus pour susciter la consternation parmi les ressources à l’œuvre dans la prise en charge de l’itinérance. Le métro n’est pas un refuge pour l’itinérance | Le Devoir